Le document explore les conceptions historiques et contemporaines des biens communs, une catégorie de propriété accessible à tous, en analysant des exemples et des théories, notamment celles d'Elinor Ostrom sur la gestion communautaire. Il souligne l'importance de l'auto-gestion et des principes adaptés au contexte local pour prévenir la surexploitation des ressources. Enfin, il aborde les tensions entre l'État et les biens communs, ainsi que la nécessité d'intégrer des perspectives non humaines dans la gouvernance de ces ressources partagées.